TUNISIE : Ghanouchi et le clan RCD, on ne veut pas de démissions, on veut vos têtes

La rue a sacrifié des vies, Pourquoi faire compliqué, quand c'est simple; les criminels en place doivent être exécutés sur la place publique, les roumains ont donné l'exemple en exécutant leur dictateur; ils ont éradiqué les figures de la dictature; les tunisiens restent hantés par le dictateur que ses complices, encore au pouvoir à continuer la mascarade, l’ont laissé prendre la fuite. Tunisiens, attendez-vous à la torture dès que le  plan Ghanouchi de se refaire réélire se réalisera, les massacres vont reprendre de plus belle par les milices du RCD armé de pierres, jusqu’à date, qui seront armées de haches à perpétrer un génocide pareil à celui qu'on assiste en Libye, dès que l'ordre soit donné par les directeurs du ministère de l'intérieur qui leur fourniront la couverture policière comme l’ont toujours fait. Votre silence est un mandat sans élections à Ghanouchi, le pays est dirigé par le corps policier en place du RCD, fort par notre argent (un clan de voleurs qui manipulent l'argent de la banque centrale en mascarade télévisée).

Les dirigeants de la police de la terreur et les criminels du RCD doivent être éliminés physiquement, il n’y a pas d’autre issus. Les assassins en place insulte l’intelligence des révolutionnaires. Jeunes vous allez finir par avoir leur peau. On était bien plus en sécurité sans la police quand on s’est organisé en comités de quartier. C’est évident, la mascarade politique donne la légitimité au corps policier qui dirige le pays; 42 jours après le départ du despote, les jeunes se font  encore massacrer.

On était, jusqu’à date, naïfs en manifestant pacifiquement, on s’est servi, jusqu’à date, d’outils démocratiques, mais les criminels en place n’ont rien de démocratique, ils continuent d’exercer leur terreur sur les jeunes désarmés.

Vous aurez le même châtiment. On ne veut pas de démissions, on veut vos têtes.

Article revisité et mis à jour par Épicentre suite à la réaction du corps policier aujourd'hui 25 février face aux énormes manifestations pacifiques d'El Kasba, publié par un jeune tunisien arrêté le 30 janvier, à la même Kasbah et torturé par les dirigeants policiers du RCD qui s’en servent du criminel Ghanouchi leur complice.